Brutal transformation…physique(terminé)

Dante se réveilla dans une ruelle en se demandant ce qu’il faisait là. Il réfléchit et se souvint qu’il était entré dans un bar et qu’une femme plutôt étrange lui avait payé un verre ou plutôt plusieurs verres, lui et la femme avaient bien rigolé et il se souvenait que cette inconnue l’avait appelé : « mon lapin » durant toute la soirée et que sous l’emprise de l’alcool, il avait suivit la femme dans les rues….et après plus rien. Dante sentait une vive douleur au niveau de son crane, il se leva en titubant un peu sur ses jambes et il s’agrippa à un lampadaire. Il voulut se gratter le torse et toucha quelque chose de pas naturel : s’était mou et rond. Dante sursauta en hurlant de surprise. Il murmura en regardant ses deux nouvelles présences qui occupaient son torse : J’ai des….seins. Il plaqua ses mains sur sa bouche…sa voix était celle d’une femme. Il avait l’air d’un idiot avec sa bouche bée et ses mains qui touchaient sa poitrine. Il secoua la tête en se disant qu’il rêvait. Il ferma un peu la veste pour cacher sa poitrine, mais toutes personnes qui regarderaient sa veste remarqueraient cette présence. Il se mit à marcher dans les rues, son épée à la main encore sous le choc. Soudain quelqu’un l’attrapa et le plaqua contre un mur et une voix lui dit à l’oreille :
Tu t’es perdus ma jolie ? T’inquiète oncle Sam va s’occupait de toi… L’homme glissa la main dans la poitrine de Dante, celui-ci se dégagea des mains de l’homme et donna un coup de pied magistral aux parties sensibles de l’homme. Le dénommé Sam poussa un hurlement de douleur et Dante leva son poing et donna un coup de poing dans la figure de l’affreux bonhomme et pour finir un coup de boule, l’homme s’écroula par terre, assommé, avec en prime un nez cassé. Dante ramassa son épée en regardant l’homme qui gisait au sol. Il sortit un briquet de sa poche et alluma une cigarette. Quand il eu finis sa cigarette Dante se dirigea vers les magasins pour s’acheter d’autres vêtements et une autre arme. Au fond de lui, il aimait être devenu une femme.
Il arriva à une place entouré de nombreux magasins. A peine entré dans un magasin de vêtements féminins un jeune homme accourus vers lui et lui montra le rayon de vêtements de femmes. Dante choisit des habits et partis les essayer dans une cabine. Il se regarda dans le miroir : ses cheveux avaient gardé leur blancheur mais ils étaient devenus longs, ses mains étaient celles d’une femme et ses formes masculines étaient maintenant féminines. Il s’habilla, les vêtements qu’il avait choisit lui allaient à merveilles :
Il porté un simple collier en croix attaché à un fil forment deux ronds noir autour de son cou et composé de deux fils tombant délicatement sur sa poitrine, avec à leur bout deux petites statuettes. Il porté aussi une cape en cuir rouge mat, des gants en cuir noir avec des boucles les parcourant sur toute la longueur, un haut en cuir noir, bien taillé et mettent en valeur les nouvelles courbes de Dante, pourvu d’un col imposant avec deux boucles pour le fermer ;un décolleté très plongeant laissant entrevoir sa poitrine, fermé par une boucle(un haut qui pourrait être moins provocant, mais Dante n’a pas voulu cacher ses atouts féminins XD, ce qui n’est pas déplaisant)et qui laisse entrevoir son nombril. Sa cape passe en dessous de ses gants et de son haut, et retombe sur ses hanches, au dessus d’un pantalon en cuir rouge mat, plus prononcé que celui de sa veste, et d’une ceinture avec une boucle en tête de mort. Après avoir quitté le magasin Dante entra dans un magasin d’armes et acheta une arme à feu qu’il mit à sa ceinture.Dante s'assit sur un banc en jouant avec son épée.

Céladar se promenait dans les tuelles de la ville, pour tout dire, le spectre s'ennuyait. Le fantôme décida d'aller à la taverne du coin de rue. Elle n'aimait pas l'alcool de son vivant et ne pouvait plus rien avaler désormais, mais elle se souvient avoir aimé l'ambiance qui y règnait au moyen-âge et elle voulait savoir si ça avait évolué depuis. Cela faisait longtemps qu'elle n'était pas allée en ville, aussi, celle-ci avait bien changée depuis les dernièrs siècles, de nouvelles échoppes étaient ouverte, d'autre avaient fermées, mais toutes avait quelque chose en plus qu'à l'époque, un petit plus dû à leur coup de neuf. Lorsqu'elle arriva à destination elle trouva une armurerie. L'être immatériel s'exclama:

Ce n'est pas vrai ! J'ai encore été dépassée !

Elle réflèchit, puis se dit:

On dirait bien que je vais devoir passer mon chemin... à moins qu'une autre ait ouvert depuis.

A travers les diffèrentes créatures telles que vampires, loup-garou, elfes, humains et d'autres moins facilement nommables, la dame blanche vit quelqu'un isolé sur un banc. Bien décidée à ne pas abandonner sa recherche, bien qu'elle n'ai pratiquement aucune importance à ses yeux, elle s'approcha. Cette femme n'était peut-être pas une habituée du lieu, mais ça ne coûtait rien de lui demander.

Bonsoir , dit-elle timidement.

Dante était perdus dans ses pensés quand soudain une voix lui dit proche de lui:Bonsoir.
Il posa son épée et le va la tête et vit avec surprise une dame qui semblé être un être de l'au-delà.Il répondit avec un sourire:
Bonsoir,belle dame.Il se leva et fixa la dame blanche comme fasciné par cette apparition,géné il baissa son regard et demanda:
Que cherchez vous dans un endroit pareille?Mon nom est Dante.Et vous quel est votre jolie nom?Il prit son épée et la rangea derrière son dos en regardant la dame avec un sourire.

Dante réflechit et dit à Céladar:
Je crois qu'il y a une taverne pas loin elle se nomme:l'Absinthe bleue.Venez on va y allé ensemble.
Dante commenca à se diriger vers la taverne.Intérieurement Dante rigolait car il se trouvait dans une drôle de situation:il s'était changé en femme et il avait fait la rencontre d'une charmante dame blanche.Il demanda à Céladar:
Que voulez vous faire dans une taverne?Les personnes tels que vous ne peuvent boire ou toucher quelque chose.

La dame blanche sourit à Dante:

Je n'y vais pas pour boire quelque chose, de tout façon l'alcool me répugne, j'y vais simplement pour me distraire, je ne sais que faire de mes nuits. La dernière fois où je suis allée à une taverne de mon vivant, il y avait une bonne ambiance. J'espère que le temps passant n'a rien modifié et n'en a pas fait un lieu mal fâmé.

A présent, ils s'étaient tous deux mis en route et avançaient dans la pénombre.[i]

(suite taverne de l'absinthe bleue)