La migration enfin terminé (terminé)

[je sais y a qu'un poste mais j'avais pas griller que j'était devant la ville et que donc ceux qui sont dedans et qui peuvent pas en sortir aurai comme qui dirait un chouïa du mal a me répondre ^^"]

Les corbeau c'était enfin poser, cela faisait trois moi que Karasu les suivaient. L'air était froid en cette matinée, le ciel était gris, depuis un certain temps il avait remarqué bon nombres de nuage concentré en un seul endroit, étrange, ce n'était plus de très bon gouts que de ce dire cela, il devait l'être tout autant. Il huma l'air humide de l'endroit avant d'examiner l'endroit en question. Ses rues était désertes, toutes les maison qu'il voyait avait les volets fermée exceptée une où il pouvait voir une personne se cacher derrière les rideau tout en l'épiant. Il posa la main gauche su le pommeau de son arme située elle aussi sur le flan gauche ce qui signifiait qu'il ne pourrait la dégainer avec cette main, néanmoins la sentir lui redonnait un peu plus confiance en lui. Il sentit un frisson lui parvenir, mais il n'était pas du au froid bien que Karasu n'était vêtu que de son pantalon abondamment décorée de chaine et d'un t-shirt dont les manche avait été arracher il y a bien longtemps. Un corbeau se posa alors sur son épaule, il tendit la tête et lâchant le pommeau de son arme Karasu caressa le plumage de son compagnon avant de commencer à avancer. Un seul problème se posait à lui, où aller et pour quoi faire? Il réfléchis alors, la priorité était de manger, puis de trouver un coin où dormir, il regretta alors de ne pas avoir garder ses possessions, c'est à dire une couverture presque chaude et un oreiller qui n'en avait plus que le nom, cependant il n'avait pas voulu s'en encombrer et le voila sans rien pour dormir, il regarda alors sa richesse monétaire et ne vis assez d'argent que pour se payer une bière pourvu que les bistrot du coin ne soit pas trop cher. Le corbeau poser sur son épaule croassa alors et s'envola dans une ruelle. Karasu prit ça pour un signe et s'avança dans la ruelle pour y trouver de la viande cuite et encore chaude et dans une assiette, comme à l'accoutumée les corbeaux répondait à ses besoins sans qu'il ait besoin de leur demander. Il mangea avidement la viande quand il entendit un son, ce fut très léger, le craquement d'une branche peut être ou le froissement d'une feuille mais il n'en était moins que quelqu'un se trouvait pas loin derrière lui. Karasu se retourna tenant encore le morceau de viande qu'il mangeait.